Je me rappelle cette maison d’enfance, comme un doux souvenir, écrin de velours où mon âme dort encore, lieu exquis d’un bonheur simple avec mes grands-parents de coeur.
Une belle soirée de début d’automne, ma grande tante tricotait un pull en laine, et ma Bonne maman, allongée dans son fauteuil pour reposer ses jambes douloureuses, semblait perdue dans ses pensées.