Le virus nous rappelle que la seule façon de s’en sortir vivant, c’est la coopération au sein d’une communauté. Être la partie de cette chose magnifique dont il faut prendre soin et qui en retour prend soin de nous.
Je me rappelle cette maison d’enfance, comme un doux souvenir, écrin de velours où mon âme dort encore, lieu exquis d’un bonheur simple avec mes grands-parents de coeur.
Une belle soirée de début d’automne, ma grande tante tricotait un pull en laine, et ma Bonne maman, allongée dans son fauteuil pour reposer ses jambes douloureuses, semblait perdue dans ses pensées.